Il n'y a aucune information certaine sur l'existence de Saint Georges, mais malgré cela, il est vénéré dans le monde entier.
Il semblerait qu'il soit né en l'an 280 en Cappadoce (région de la Turquie moderne), et on dit qu'il aurait fait partie de la garde du corps de Dioclétien. Le martyre aurait eu lieu juste sous cet empereur, lorsque George a donné aux pauvres toutes ses possessions, se confessant comme chrétien. Selon la légende, il aurait été battu, lacéré et jeté en prison par les hommes de Dioclétien. Ses restes furent portés à Lod, c'est-à-dire Lydda, en Israël, mais l'impératrice Sainte-Hélène a fait extraire du tombeau la tête du saint et l'a fait porter à Rome pour répandre son culte (depuis lors, elle est conservée dans l'église Saint-Georges-de-Vélabre). Quelques reliques en revanche furent données à d'autres villes, dont Campobasso.
Le tombeau avec les restes de Saint George à Lydda, en Israël.
Dans l'histoire, les représentations artistiques du combat de Saint-Georges contre le dragon sont innombrables.
Saint Georges est souvent dépeint comme un chevalier héroïque, il suffit de penser à la Légende Dorée, écrite par l'archevêque de Gênes, Jacques de Voragine. Dans ce texte, on raconte qu'un dragon aurait tué toutes les personnes qu'il aurait rencontré en faisant jaillir de ses narines du feu et de la fumée. Pour l'apaiser, les habitants de Selem, en Libye, lui offraient tous les jours un mouton et un adolescent tiré au sort. Quand ce fut au tour de la princesse Silène de se sacrifier, le chevalier Georges intervient en tuant le dragon avec sa lance, puis il le fit sortir de la ville en le faisant traîner par quatre paires de bœufs.
La peinture à l'huile de Paolo Uccello: Saint Georges et le dragon de 1458-60 exposée au Musée Jacquemart-André de Paris.
Le tombeau avec les restes de Saint George à Lydda, en Israël.
Dans l'histoire, les représentations artistiques du combat de Saint-Georges contre le dragon sont innombrables.
Saint Georges est souvent dépeint comme un chevalier héroïque, il suffit de penser à la Légende Dorée, écrite par l'archevêque de Gênes, Jacques de Voragine. Dans ce texte, on raconte qu'un dragon aurait tué toutes les personnes qu'il aurait rencontré en faisant jaillir de ses narines du feu et de la fumée. Pour l'apaiser, les habitants de Selem, en Libye, lui offraient tous les jours un mouton et un adolescent tiré au sort. Quand ce fut au tour de la princesse Silène de se sacrifier, le chevalier Georges intervient en tuant le dragon avec sa lance, puis il le fit sortir de la ville en le faisant traîner par quatre paires de bœufs.
La peinture à l'huile de Paolo Uccello: Saint Georges et le dragon de 1458-60 exposée au Musée Jacquemart-André de Paris.
Ce furent les croisades en Terre Sainte qui ont propagé le culte de Saint Georges en Europe, à l'origine vénéré uniquement en Orient.
Au Moyen Âge, la lutte de Saint George contre le dragon devient le symbole de la lutte du bien contre le mal, à tel point que le monde de la chevalerie y a vu ses idéaux pleinement incarnés.
Georges est devenu ainsi l'un des saints les plus aimés (ainsi que le patron de tous les scouts!).
En Italie, Saint Georges est le saint patron de plus d'une centaine de communes, dont vingt et une portent même son nom. Le Palio de Ferrare lui est dédié, il est le protecteur des Gardes Privés Assermentés, et sa croix rouge sur fond blanc est le symbole de Gênes, Bologne et Milan. Mais son culte est populaire dans toute l'Europe. En Allemagne, des eaux considérées comme miraculeuses lui sont dédiées, tandis qu'il est le patron de l'Angleterre, de régions entières espagnoles, du Portugal, de la Lituanie, ainsi que du peuple des Roms!
Nombreuses sont les églises dédiées à son nom, et nombreuses sont les peintures qui le voient comme protagoniste, dont celles de Vitale de Bologne (vers 1340, conservées à la Galerie d'Art Nationale de Bologne), de Paolo Uccello (vers 1470, conservées à la Galerie Nationale de Londres) et de Raphaël (1505-06, conservé à la Galerie Nationale de Washington).
La peinture de Raphaël, exposée à la National Gallery de Washington.
Au Moyen Âge, la lutte de Saint George contre le dragon devient le symbole de la lutte du bien contre le mal, à tel point que le monde de la chevalerie y a vu ses idéaux pleinement incarnés.
Georges est devenu ainsi l'un des saints les plus aimés (ainsi que le patron de tous les scouts!).
En Italie, Saint Georges est le saint patron de plus d'une centaine de communes, dont vingt et une portent même son nom. Le Palio de Ferrare lui est dédié, il est le protecteur des Gardes Privés Assermentés, et sa croix rouge sur fond blanc est le symbole de Gênes, Bologne et Milan. Mais son culte est populaire dans toute l'Europe. En Allemagne, des eaux considérées comme miraculeuses lui sont dédiées, tandis qu'il est le patron de l'Angleterre, de régions entières espagnoles, du Portugal, de la Lituanie, ainsi que du peuple des Roms!
Nombreuses sont les églises dédiées à son nom, et nombreuses sont les peintures qui le voient comme protagoniste, dont celles de Vitale de Bologne (vers 1340, conservées à la Galerie d'Art Nationale de Bologne), de Paolo Uccello (vers 1470, conservées à la Galerie Nationale de Londres) et de Raphaël (1505-06, conservé à la Galerie Nationale de Washington).
La peinture de Raphaël, exposée à la National Gallery de Washington.
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Scans réalisés par elementix
Traduction de l'italien par elementix
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